farm rentable
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Dans l’univers des MMORPG, rares sont les jeux où l’économie entre joueurs est aussi profonde et influente que dans Dofus. Que ce soit dans sa version classique ou sur Dofus Rétro, le jeu d’Ankama récompense depuis des années les profils patients, malins et organisés.

Et certains d’entre eux vont plus loin : ils transforment ce qui n’est au départ qu’une habitude de farm en système rentable, jusqu’à générer suffisamment de richesses pour revendre leurs kamas. Pour eux, la vente de kamas n’est pas un but en soi, mais une suite logique d’un processus de maîtrise du jeu.

Comprendre le jeu comme un écosystème économique

Sur Dofus, tout a une valeur. Les ressources, les objets, les runes, les consommables, les familiers… Tout peut être produit, transformé ou échangé.
Certains joueurs ont appris à lire les besoins du marché, à suivre les tendances du serveur, et à exploiter les mécaniques de jeu pour fournir ce que les autres recherchent.

Ils ne se contentent pas de farmer au hasard. Ils ciblent :

  • Les zones rentables à bas niveau (Donjons Craqueleurs, Scarafeuilles, Bouftous Rétro)
  • Les métiers sous-côtés mais à forte marge (paysan-boulanger, bijoutier, cordonnier)
  • Les événements qui font exploser la demande (tournois, resets, nouveaux serveurs)

Et chaque kama généré est vu comme une unité productive, destinée à circuler ou à être transformée en profit.

 

joueurs Dofus Rétro

Le farm intelligent : plus que du temps, une méthode

Les meilleurs joueurs dans ce domaine ne sont pas forcément ceux qui jouent le plus. Ce sont ceux qui jouent avec méthode.
Certains utilisent des feuilles de calcul, d’autres créent des routines quotidiennes optimisées. Ils savent où dropper, à quelle heure, quels crafts produire selon les cycles de l’économie de leur serveur.

Ils utilisent aussi des techniques complémentaires :

  • Diversification des activités (drop, métier, achat-revente)
  • Anticipation des hausses de prix après un patch ou une annonce
  • Stockage stratégique de ressources à revendre plus tard

Et quand la quantité de kamas accumulée devient trop grande pour leur propre usage, la vente de kamas s’impose d’elle-même comme issue naturelle.

Vendre des kamas Dofus : le fruit d’un système bien huilé

Les joueurs qui en arrivent à vendre leurs kamas Dofus ne l’ont pas décidé en un jour. Ils ont passé des semaines à construire leur cycle de farm, à comprendre leur marché local, à accumuler de la valeur sans la dilapider.

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Ils ont aussi appris à gérer les risques :

  • Répartir leurs stocks
  • Garder des logs de leurs échanges
  • Créer des mules de livraison
  • Identifier des partenaires fiables

Pour eux, la vente de kamas n’est pas un « coup », mais une manière de valoriser une activité régulière dans un cadre structuré. Certains le font pour gagner un peu de côté, d’autres pour réinvestir dans du matériel ou des services.

Dofus Rétro : moins d’aides, mais plus de marge

Sur Dofus Rétro, la mécanique est encore plus pure.
Pas de kamas en fin de combat, pas de succès généreux, pas de quêtes rémunératrices.
Chaque kama se gagne à l’ancienne : métier, drop, vente. Et paradoxalement, c’est ce qui en fait une version très prisée par les joueurs qui souhaitent générer une économie rentable.

Ici, les méthodes de farm sont plus dures, mais les profits plus intéressants une fois le système lancé. Les joueurs qui réussissent à vendre des kamas sur Rétro sont souvent ceux qui :

  • Ont monté un ou deux métiers clés très tôt
  • Ont investi dans des panoplies de drop ciblé
  • Ont une très bonne gestion de leurs heures actives

Le kama a plus de valeur, mais il est aussi plus rare — ce qui en fait une ressource encore plus pertinente à vendre pour ceux qui en maîtrisent la génération.

Vendre ou réinvestir : deux voies, une même logique

Tous ne choisissent pas de revendre leurs kamas. Certains préfèrent les réinjecter dans l’économie du jeu pour spéculer sur des objets rares, créer des stocks ou préparer un gros projet. Mais ceux qui décident de les vendre le font avec recul et méthode.

Ils choisissent le moment, le montant, et souvent le serveur où la revente sera la plus avantageuse.
Car dans un jeu multiserveurs comme Dofus, le même montant en kamas n’a pas la même valeur partout. Savoir où vendre ses kamas, c’est aussi savoir comment en tirer le meilleur rendement.

Conclusion : la vente de kamas comme prolongement d’un savoir-faire

Vendre des kamas, ce n’est pas seulement céder une monnaie virtuelle. C’est transformer une stratégie de jeu intelligente en résultat concret.
Les joueurs qui y parviennent ne sont pas les plus bruyants, ni les plus visibles, mais souvent les plus méthodiques, les plus constants, et les plus informés.

Dans un MMORPG comme Dofus, où l’économie est un pilier fondamental, la vente de kamas devient simplement une option parmi d’autres pour ceux qui savent produire, gérer et valoriser leur temps de jeu.

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